Téléphone sans fil littéraire

Sérieux rail, baril d'autres peurs, c'est l'arête ! Miel de vin, dune, sonorité !

("Comme disait Zola, Nulla dies sine linea. Je pense pareil, mais je doute qu'on parle de la même chose." Christian MISTRAL)

Sérail, baril d'autres fleurs, c'est l'honnête ! Miel de fin, dune, sangloter !

Sérail, Barilla d'autres coeurs, c'est l'honnête ! Miel de pin, dune, siffloter !

Sérieux Bary a d'autres moeurs, c'est l'eau nette, ciel de vin, d'une si flattée

Sérieux banni a d'auto-mœurs, c'est l'eau raide, vile faquin, d'une scie dentée.

Spécieux safaris à l'automne meurent, cette eau plaide villebrequin accidenté !

(n°12, on arrive à la fin !)

Spécieux ça va vite à l'automne se meuvent, cette plaine ville greduin accidenté !

(bwarf pour faire plus zoli on ira jusqu'à la fin de cette page, soit encore 7 posts après celui-ci ^^)

Ces cieux sont vides en automne, se meurent ; cette plaine vile devient accidentée.

Ses yeux avides d'automne se meurent ; cette belle fille devient aussi tentée.

Ses yeux vides de tonnes de pleurs; cette belle fleur vient d'être fanée

Ces yeux valides détonnent de pleurs ? cette belle peur vient d'être panée !

Ces bleus valises détrônent de pleurs ? Cette frêle peur rit de n'être pas née !

Ces bleus de l'île du Rhône se beurrent ? Chouette effraie, vieux risque d'être damnée !

C'est bleu Belle-île, dur en ce coeur! Chou est effrayé, pieux disque des années

et ! qui a censuré ma contribution ? À celui-ci, ou celle-là, je répondrai ceci :

C'est bien fragile, un dur à cuire ; ouvrez bien vos raies, pieux disques décharnés.

(Bien sûr, s'il y a erreur de manipulation de ma part - ce qui est absolument possible... -, et que vous n'avez rien à vous reprocher, ne cherchez surtout pas le message caché ! Merde quoi, si la littérature, dernier bastion de la liberté, commence à s'auto-censurer, on est bien les gars!)

Allez, nouvelle citation !

"L'article indéfini 'des' introduit une pluralité, ce qu'il signifie qu'il y en a plusieurs, donc pas un seul !"

(oui, j'ai eu exam d'analyse textuelle ce matin. T_T)

Et le récap de la précédente :
"Ce n'est pas parce qu'une erreur se répète qu'elle devient une vérité"
-> "C'est bien fragile, un dur à cuire ; ouvrez bien vos raies, pieux disques décharnés !"

Comme vous pouvez le constater, le lien ne crève pas les yeux.

A vous !

L'art cycle défini des Indes produit une pure réalité, ce qu'il signe, fille qui en a plusieurs dons, pas un seul

L'art cycle détruit les Indes pardi ! Une pure réalité, cinéphile, fille qui en humeur dons, pas un sol.

Recycle les détritus, vin de Paris ! Épure les robinets, si ne filent figues et cuberdons dans un linceul.

(proposition: si on essayait au moins que la phrase crée soit syntaxiquement cohérente ? Cela rendrait le jeu et les tableaux peints bien plus riches, non ? sinon, j'avoue que je ne comprends pas trop où est l'intérêt du jeu)

(et si la phrase est poétique, ou marrante, ou dépositaire d'un sens caché et ... profond (?), ou les trois, je dirais que c'est encore mieux !)

Good idea Florent

Refourgue les radis, Gus, et viens à Paris ! Élude les quolibets, et ne rime figures ; et gagnons un linceul.

Renfourne les rats, dis Gus, et viens à pas de riz! Elu de l'écho il est! L'hermine figurée gagne mon daim d'un seul

Enfourne les rats d’égout, en une verte prairie, et use de tes godes ailés : l'herbe ne figure guère mon dard sensuel.

Enroule tes bas dégoutants, diurne perte de railleries. Et brûle tes portes scellées, herbes et figues sont en guerre, monde artificiel !

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Embrouille du bar des fous : tandis que près du rat, prier pour les morts désolés est bénéfique, son tango remonte à la surface.